En finir avec les idées reçues sur l’assurance crédit

Idée reçue N°1 : Ce n’est que pour les grosses entreprises

Une entreprise de petite taille est plus sensible aux conséquences des impayés avec un risque de défaillance accru suite au non-paiement d’un client ou de plusieurs clients.

25% des défaillances d’entreprises en France sont la conséquence de l’insolvabilité « clients », ce pourcentage est à mettre en regard d’un nombre total de défaillances en 2014 qui sera en France supérieur à 62.000.

Idée reçue N°2 : C’est trop compliqué et lourd à gérer

La gestion est simple, elle se fait via des portails internet, qui donnent en temps réel accès à l’ensemble des informations sur les limites de crédit et la gestion des sinistres. De plus vous bénéficiez de l’assistance du courtier, présent au quotidien pour vous conseiller et vous assister.

Idée reçue N°3 : C’est inutile car Je connais bien mes clients

Aujourd’hui, Tout s’accélère, les dépôts de bilan ne sont plus nécessairement précédés de signes avant coureurs comme des tensions de trésorerie.

Depuis la crise de 2009 beaucoup d’entreprises ont abaissé au maximum leur point mort en réduisant leurs charges, elles ne disposent plus de marge de manœuvre face à l’absence de reprise d’Activité. L’ancienneté de la relation n’est pas un gage de sécurité.

Le contexte économique difficile touche de plus en plus d’entreprises de taille significative et anciennes .Le nom, la taille ou la notoriété d’une entreprise ne la prémunissent pas des difficultés

On peut citer : Mory Ducros, FagorBrandt, Virgin, Spanghero, Fly, Atlas, Gad, Tilly Sabco, …

Idées reçue N°4 : Ça ne couvre que les bons clients

Les revenus de l’assureur-crédit sont liés au chiffre d’affaires qu’il garantit et par conséquent aux limites de crédit qu’il délivre. Un assureur trop restrictif ampute ses revenus.

Les milliards d’euros indemnisés chaque année par les assureurs crédit en attestent. En 2008 et 2009, ce sont 9 milliards d’indemnités qui ont été versés par les assureurs-crédit.

Idées reçue N°5 : Les assureurs suppriment leurs couvertures trop rapidement

L’objectif de l’assureur est de préserver la relation commerciale client/fournisseur et d’éviter une rupture trop brutale qui pourrait entrainer une défaillance immédiate.

L’assureur-crédit est effectivement amené à réduire ou parfois supprimer les limites de crédit. En fonction de l’urgence de la situation, une annulation de limite de crédit est le plus souvent précédée d’une phase de réduction.

De plus, afin de préserver la relation commerciale et d’éviter un désengagement brutal des mécanismes contractuels permettent de différer la prise d’effet de la décision d’en général 3 mois .

Idées reçue N°6 : Ça va freiner mon business

L’assureur-crédit aide d’une part à sécuriser le business existant et permet également de mieux qualifier la prospection pour la rendre plus efficace. Être plus sélectif en amont permet d’éviter des rendez-vous de prospection inutiles aux commerciaux.

Idées reçue N°7 : En cas de sinistre on n’est pas sûr d’être indemnisé

Le contrat prévoit des règles de gestion simples et adaptées aux besoins de l’assuré.

Il n’y a absolument aucune surprise si ces règles sont respectées.

Le Courtier vous assiste au quotidien :

  • Il vous aide pour l’analyse et la constitution des dossiers sinistres.
  • Il forme vos équipes a l’utilisation quotidienne de la police.

Par ailleurs, dès la transmission d’un dossier en sinistre vous êtes informé du montant de l’indemnisation

Idées reçue N°8 : C’est trop cher

L’ assurance crédit apporte la prévention et la surveillance des clients, le recouvrement en cas d’impayé et in fine une indemnisation. Le prix est à mettre en perspective avec le coût de l’auto assurance qui implique l’achat d’informations, le suivi des clients, le recouvrement en interne ou externe et une sinistralité non indemnisée.

C’est aussi le prix de la «sécurité ».

  • Le poste « Clients » est souvent le poste le plus important de l’actif circulant.
  • Un impayé impacte la marge, pour compenser un impayé de 30.000€ si votre marge est de 5%, vous devez réaliser un chiffre d’affaires supplémentaire de 600.000€

Le prix est fixé lors de l’étude préalable en fonction des caractéristiques de chaque entreprise et de sa clientèle, les taux sont révisables et adaptés aux performances du contrat.

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